Mr. Burberry, la nouvelle fragrance irrévérencieuse pour un homme de contrastes

Quelle fragrance pourrait représenter un homme classique et pourtant contemporain ? Quels accords évoqueraient autant la sensualité que la sophistication, l’élégance aussi bien que la rebelle attitude ?

Il semblerait que la réponse soit de l’autre côté de l’Atlantique. Et c’est chez Burberry, que cela se passe. 

Avec une bonne dose d’audace, le nouveau parfum pour homme, Mr. Burberry révèle cette ambivalence de style mise en lumière par une campagne publicitaire shootée à Londres, entre les murs d’un grand palace.

Deux égéries se partagent l’affiche.  Josh Whitehouse, musicien et acteur, approché pour sa sensibilité musicale, et Amber Anderson, actrice et modèle nous entrainent dans un huis-clos amoureux, accompagné d’une bande son de Benjamin Clementine « I won’t complain », exécutée piano et voix.

Mr. Burberry trouve sa place dans cette mise en scène, dévoilant un flacon rendant hommage au trench-coat noir dans le moindre détail. Du cabochon en bakélite, clin d’œil aux boutons en corne, en passant par le ruban noué à la main en gabardine tissée en Angleterre (celle même inventée par Thomas Burberry il y a plus d’un siècle), le flacon de Mr. Burberry se fait l’écho du style britannique, capturant l’essence de Londres en un parfum aussi unique et inattendu que cette ville peut paraître.

On l’aura compris, la création de Francis Kurkdjian pétille de contrastes, au travers d’une composition aromatique boisée, qui bouleverse l’ordre des matières premières. Estragon, Cardamome se glissent en tête auprès du pamplemousse. Le bois (Ecorce de Bouleau, Bois de Cèdre), se hissent au cœur, côtoyant la Noix de Muscade. Vétiver, Gaïac, et Santal confirment cette intention boisée, à l’identité affirmée.