Mon Guerlain, le nouvel Oriental-Frais audacieux, lumineux et sensuel

La fragrance : Un oriental – frais

Tout commence souvent par un ingrédient, une inspiration…
Et pour Mon Guerlain, ce sera la Vanille. Mais pas n’importe quelle Vanille. La sublime Vanille Tahitensis servira de point de départ à la composition.  

En digne représentante d’une tradition séculaire dans les parfums Guerlain qui n’est pas près de s’éteindre, la Vanille Tahitensis s’encanaille auprès de la Lavande Carla, jusque-là volontiers attribut des parfums masculins, de l’esthète Jasmin Sambac et du Santal Album, riche, profond et mystérieux pour former un parfum Oriental-Frais, lumineux, sensuel, mais aussi très audacieux.

Déjà présente dans une multitude de compositions qui ont fait le renom de la maison Guerlain, et ses guerlinades, à travers Jicky (1889 – Aimé Guerlain), puis Shalimar (1925 – Jacques Guerlain), ou encore Habit Rouge (1965 - Jean-Paul Guerlain), elle demeure l’évocation d’une sensualité à fleur de peau, comme un tatouage olfactif.

Véritable évocation d’une féminité affirmée, libre et sensuelle, l’eau de parfum Mon Guerlain se pare donc de matières premières triées sur le volet et extraites des meilleurs terroirs. La Provence pour la Lavande Carla, L’Inde pour le Jasmin Sambac, l’Australie pour le Santal Album, et la lointaine Papouasie-nouvelle Guinée enfin, pour la Vanille Tahitensis.

C’est dire si mon Guerlain est un voyage !

Le flacon : Le mythique quadrilobé

Un voyage qui se retrouve également dans l’iconique et incontournable flacon quadrilobé. Celui qui, à l’origine, fut spécialement créé pour la fragrance Rue de la Paix de Jacques Guerlain par Baccarat en 1908, orne aujourd’hui la fragrance Mon Guerlain de ses courbes arrondies, contrastant avec ses lignes tendues. Réalisé par le verrier italien Bormioli, habillé au col d’une bague dorée martelée, et revêtant un jus rosé, le flacon, dans une nudité assumée, offre l’inscription de la mythique maison sur son socle dans une épure parfaite.

L’inspiration : Angelina Jolie, une égérie libre

Et si l’audace réside en partie dans ce paradoxe entre tradition et modernité, le choix de l’égérie américaine, Angelina Jolie, pour incarner la fragrance en représente une autre qui ne laisse personne indifférent. L'actrice qui a toujours refusé d'incarner l'image du luxe s'est inclinée face à l'offre du parfumeur. Il faut dire que la maison a su y faire en lui offrant une version originale de la boite à poudre "Ladies in all climates" qu'utilisait quotidiennement Marcheline Bertrand, la mère de l'actrice, aujourd'hui disparue. Mais l'évocation va au-delà du souvenir maternel, puisque les ingrédients et le parfum Iris-Violette de cette poudre lui rappellent aussi la moiteur du cambodge, pays d'adoption de ses enfants.